Les poussins ont éclos et se suivent maman poule à la recherche de nourriture. Les mousserons font leur apparition dans les pâtures
Et puis il y a des neiges tardives :
L’hiver en Margeride C’est le temps des naissances dans notre petit élevage.
- Ines et Isn't it se font des cachoteries : les coquines !
- Imac, Ibook et Ipod : leur première sortie !
- Igloo et sa soeur Icetea profitent du soleil
Il est passé par ici ! Il repassera par là … Mais de qui s’agit-il ?
- Il repassera par là ...
- Il est passé par ici...
Des oiseaux en pagaille, venus chercher des graines à la mangeoire.
L’automne en Margeride
La Margeride attire chaque année, à l’automne, de nombreux cueilleurs de champignons. Sa réputation est bien fondée :
Si les cèpes de Bordeaux sont les champignons les plus recherchés, la Margeride regorge de nombreuses variétés, comestibles ou non, mais toutes magnifiques !
Comme ces Strophaires vert-de-gris :
Octobre se termine à peine, que déjà la neige fait son apparition
!
Cela ne dissuade pas nos chèvres, les bien-nommées « Chèvres du Massif Central » d’aller faire leur petit tour… Ici Bergamote !
Et là Dahomey !
Pom pom pom pom ! C’est le temps des cueillettes !
Dictons de par chez nous : Année de noisettes, Année de disette. Année de foin, Année de rien..
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Ça craint !
Trois coulemelles dansent dans le pré. Où donc les musiciens se sont-ils cachés ?
L’hiver en Margeride
Malgré la neige qui s’installe parfois dès le mois de novembre dans nos montagnes, le pic épeiche cherche ici de quoi se nourrir, sous l’écorce d’un frêne.
Lo Beç 2012, nos nouveaux petits pensionnaires (Haribo, Harold, Harpo, Hermosa et Hermelin) tentent une sortie malgré le froid et la neige. Quel courage !
Un petit bisou à maman avant d’aller jouer dans la neige
.
Il est temps pour les mésanges d’entreprendre quelques menus travaux en attendant le printemps.
La mésange nonnette comme ses cousines, la bleue et la charbonnière, est une habituée de la mangeoire.
Notre moineau des montagnes est bien plus discret que celui des villes. Le moineau friquet tient son nom du fait qu’il frétille sans cesse !
Elle est passée par ici ! Elle repassera par là ! Pas trop près du poulailler tout de même, Madame la Martre !
Un jour, le diable a voulu prendre le fils d’un gars de chez nous…
« - D’accord, a dit le gars. Reviens me chercher quand les feuilles de ce jeune chêne seront tombées. »
Le diable attend toujours… Et pour cause : les feuilles du chêne sont marcescentes ! Et le gars de chez nous a bien rigolé !
Un faucon crécerelle passe ses nuits au gîte. Le jour, il chasse le campagnol dans la pâture.
Goupil est affamé, Pensez à fermer le poulailler. Le printemps en Margeride :
Pommier sous la neige, qui fait parfois sa réapparition au mois de mai. « Froid de mai n’enrichit jamais ! », dit-on…
Imperturbable, la mésange noire poursuit la construction de son nid.
Les chevreaux ont attendu le retour du beau temps pour arriver parmi nous. Ici, Bergamote et ses petits : Figaro et Félicie.
Voici Dahomey et Farine.
Caprice nous présente Ficelle et Farenheit.
Un gros chagrin de printemps ? Non ! «La pluie le jour de Saint-Robert, de bon vin remplira ton verre», dit-on.
Alors que les dernières neiges disparaissent petit à petit de nos montagnes,
Les crocus font leur apparition sur le tapis tassé d’herbes sèches.
Si comme le dit le proverbe chinois, « Le cerisier qui fleurit en hiver est un imbécile »… Voici donc la preuve que l’hiver nous a bel et bien quittés ! Â
A elle seule, l’hirondelle ne fait pas le printemps !
C’est la crise du logement chez les mésanges :
Mésange bleue ?
Mésange charbonnière ?
Laquelle des deux s’installera dans le nichoir ? Le mois des bons petits plats, à déguster bien au chaud, devant la cheminée…
L’été en Margeride :
Dame Crapaud est au balcon Sale temps pour les limaçons
Un couple de Bombyx du Genêt en profite pour passer l’après midi à l’ombre de l’Erable.
L’ascalaphe ? Un coup de vent et paf !
Une petite flambée en hiver, Un grand Flambé en été.
Pléthore de myrtilles, Font les tartes gentilles. (Proverbe pour un folklore imaginaire)
Déjà juillet et pas encore fini de faner ?
Une couleuvre passe, passe… n’en finit pas de passer !
Les jeunes hirondelles quittent le nid… Au revoir et longue vie !
Voici la raiponce ! Mais quelle était la « quaistion » ?
Quel toupet, ce muscari !
Lézard sans patte, l’orvet n’a qu’à ramper. (Proverbe pour un folklore imaginaire)
Une orchidée qui sent le bouc ? Drôle d’idée… J’aurais préféré un bouc sentant l’orchidée !




















Mai : Qu’est-ce que l’on entend ?
Approchons discrètement… Silence complet !
Un nid de mésanges charbonnières !
Combien de becs voyons-nous ? 5, 6 ? Longue vie aux petitous ! Vous l’aurez compris : Mai, c’est le mois des nichées !
Juin : Attention aux confusions !!
Voici le Vérâtre blanc. Aussi appelée Varaire ou Hellébore blanc (Veratrum album), cette plante rappelle étrangement la Grande Gentiane (hors floraison) : leurs feuilles se ressemblent mais alternes chez le Vérâtre (photo ci-dessus), elles sont opposées chez la Gentiane. La confusion avec des racines de gentiane (servant à préparer des liqueurs et des apéritifs) a provoqué des troubles importants pouvant aller jusqu’à la mort. La plante était utilisée autrefois pour empoisonner les pointes de flèches.
Voici les fleurs du vérâtre blanc, une bien jolie plante !





























Décembre : Les oiseaux de la mangeoire :
La mésange bleue
La mésange charbonnière
La mésange nonette
Monsieur et Madame Pinson des arbres.